Étirer l’art à l’infini … c’était je crois le « chapeau » de l’article d’Aurélia Salinas pour l’inauguration du laboratoire d’expression élastique annoncée dans le journal La semaine.
Nous surgissions derrière la porte du 24, rue St Eucaire… la dernière apparition médiatique de nos têtes de leés, maintenant, le Leé est né.
L’essentiel des caractéristiques du projet qui se developpera au leé (artistiques, expérimentales et coopératives) ont été reçues avec enthousiasme par un public réceptif sensible à l’articulation de cette complexité.
Du point de vue de nos échanges nombreux _ informels,, du 20 novembre au soir, jusque tard dans la nuit,,: ils n’en furent pas moins de qualité en terme de positionnement et invitent à des partenariats audacieux.
Ils promettent d’accueillir au laboratoire des idées à confronter, des cherchants élastiques mais aussi généreux … ainsi qu’un public en attente de sens et critique , . des incursions et porosités de champs aussi divers que la danse, les mathématiques, l’économie solidaire … la musique,,… et des réserves de tensions à explorer dans nos cheminements plastiques. (Formaliser sans forcer)
Il faut vous remercier d’être venu si nombreux et d’autant d’horizons soutenir notre initiative, à Metz,, c’est important,,: _ Cher Public adoré, mon amour, merci pour cette Ambiance « collé-serré » ,, pour reprendre l’expression du Réplo dans sa rubrique » l’insolite » du journal de dimanche,, vous étiez plus de 150 personnes à rejoindre la nef des leés pour l’inauguration festive du lieu !!
– Nous avions voulu cette soirée inaugurale essentiellement festive plutôt que contemplative pour faire entendre le projet dans sa dimention contemporaine, esthétique et coopérative, pour faire se rencontrer ceux qui vont devenir acteurs du projet : nous avons déjà enregistré une cinquantaine d’adhésions à l’association, et c’est réellement trés important pour le fonctionnement au démarrage de cette structure associative…
Merci aux musiciens du Denis Mogg’s Jazztet, ils ont entièrement contribué à l’harmonisation de cette inauguration.Merci à la muse mystère qui s’est désarticuleé sur l’affiche pour faire image de notre volonté partagée de créer des ponts entre les pratiques, merci à Valentin pour la pose des autocollants !Merci encore à tous ceux qui nous ont apporté de quoi nourrir cette auberge espagnole affamée (!!), comme ceux qui se sont collé au service avec tellement de gentillesse: ils ont permis d’organiser la foule chaotique de visiteurs de manière à ce que la soirée se déroule dans la joie et le partage. Merci à tous ceux qui soutiennent nos travaux et l’ossature du projet de programmation.
Le labo planche actuellement sur un site internet arborescent, plus dynamique et hyperstextuel que le oueblog actuel, de manière à ce que chacun suive à son propre rythme les activités (ateliers, leéctures) du laboratoire et ses créations ( pièces, éditions…) et accéder au contenu illustré et enrichi par les textes de nos expérimentations.
Nous sommes quand même tous un peu des acrobates, … Je me dis que je suis ravie de m’être embarquée dans cette aventure collective, merci leés collègues 😉 et je mesure la distance de travail, alors comme dirait Dav.A :
Disapearing is the good way to start working
signé Werther.M
(start working is the good way to start disapearing)