Concert KRCI pour les 7 ans du LEE

AYEZ ! LE LEE a 7 ans !
merci à tous !
venez partager un moment avec nous pour fêter ça avec nous !
auberge espagnol 😉

merci à tous et toutes pour vos soutiens, idées, remarques, sourires, questions ! venez adhérer pour cette nouvelle saison !

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KRCI
Loris Binot : fender rhodes, moog, traitements
Emilie Škrijelj : accordéon, samples, électronique
concert le samedi 18 novembre à 18h30

Issu du collectif Azeotropes, le duo Krci associe et confronte leurs claviers pour entrer dans la matière et s’y jeter tout contre.
Choc des masses, collision, fracture.
Capturer le désordre et railler les frontières…
Depuis presque 10 ans, leur complicité s’est forgée au gré des aventures musicales telles que l’ensemble Azeotropes (jazz contemporain) ou le trio Les Explorateurs (Mikrokosmos de Bartók). Une musique organique, sans concession, qui se joue des codes esthétiques. Aucune règle sinon celle d’une liberté irrévérencieuse.
Les vibrations du Fender Rhodes préparé et du Moog croisent les agitations d’un accordéon débridé et de lâchers de samples yougoslaves…
« A l’horizontal, les joueurs de balance sont en équilibre éphémère, mais tout est dans les rebonds, dans la pulsion donnée par la gravité bivercelle ainsi que la drôlerie amusicale. Comme une communion des commisures »

F. Drapier

www.facebook.com/azeotropes

HORS LES MURS
Roxane LIPPOLIS expose à la Médiathèque Verlaine
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COCORICO ! Une exposition collective de Léonor Comin, Roxane Lippolis et Nino Verdoliva.

Les artistes permanents du LEE s’exportent à KIEV…

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COCORICO !
Une exposition collective de Léonor Comin, Roxane Lippolis et Nino Verdoliva.
Nous sommes heureux d’être accueilli par la GALERIE 36 pour son exposition de printemps.

stolen memoriesLéonor Comin une artiste et poète française.

Ses œuvres et installations prennent leurs origines dans les poèmes qu’elle imagine au fil de ses déambulations. 

Le voyage, la rencontre, le rêve et le désir sont ses thèmes principaux. 

Autour de ses textes s’articulent dessins, estampes et photographies. Le tout rassemblé est à lire comme un  » cadavre exquis » : une œuvre commune protéiforme dispersée. Souvent ses œuvre se montrent en binôme, en diptyque afin de mieux faire se développer une communication silencieuse entre les éléments de ses paysages utopiques et pluriels. 

En parallèle, Leonor Comin est aussi curatrice d’exposition. Son projet  » borrow my studio » initié en 2011 a été présenté à Amsterdam Paris ,New York et Metz.

www.leonorcomin.com

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Roxane LIPPOLIS vit et travaille à Metz, France

« Les œuvres de Roxane Lippolis, exploitant la technique du monotype et de la gravure, se tiennent en bordure de l’histoire de l’estampe. Laquelle n’apparaît plus comme un outil servant une économie, mais comme un geste plastique. Elle n’est plus une sorte de véhicule portant un message mais un corps singulier. Ainsi, l’artiste tachera à chaque série d’affranchir l’estampe de sa vocation première pour lui restituer une autonomie physique. D’image-foule diluée par sa reproduction mécanique, elle en fera une image-objet, n’hésitant pas à investir l’espace par le pliage et la maquette, la peinture murale ou l’installation. Dans sa série des origamis, le canevas de plis renseignant les étapes nécessaires à la réalisation d’une figure dessine à chaque fois une structure géométrique complexe aux divers enchevêtrements de symétries, l’artiste joue des traces et réserves comme d’une fabrique de paysages. C’est dans cette convergence ou ce brassage que l’œuvre de Roxane Lippolis à lieu : là où l’intuition rejoint les pratiques les plus codées, là où l’évanescent ou l’indéterminé rejoint la figure entendue comme schème ou rythme. »

Jeremy LIRON, plasticien et écrivain.

 

gravure brodée par BV

Baptiste Verdoliva
TRAFICS

« Retrouvez, avec le poète, le rêve primitif et vous verrez clairement sa vérité : elle est rouge, la petite fleur bleue »

Gaston BACHELARD La Psychanalyse du feu p 13.

Au fil de ses récentes séries, Baptiste VERDOLIVA poursuit son cheminement en direction de l’essentiel.

Sa démarche ne consiste pas à refuser l’anecdotique mais à prendre appui sur lui pour le dépasser et atteindre ce qui lui tient à cœur. En d’autres termes, la forme – puisqu’il est inévitable de passer par elle – n’est pas décorative, elle est révélateur d’être.

FORMES

Pour « Trafics », l’anecdote initiale est explicitement désignée : la série a été inspirée par des photographies aériennes de routes, autoroutes, échangeurs. L’imagination créatrice s’en empare pour créer des espaces où se donnent à percevoir des enchevêtrements de voies, le plus souvent discontinues ou s’achevant en impasses, des giratoires, des flèches directionnelles – le tout suggérant une sorte de vertige venu habiter ces files de circulation – vertige redoublé par l’installation vidéo qui accompagne les œuvres.

Mais on ne saurait s’arrêter là et certains choix, en ce qui concerne notamment les matières travaillées, relèvent d’une stratégie qui invite à dépasser cette première approche.

DES FILES DE LA CIRCULATION AUX FILS DE LA TEXTURE

Alors que la série de gravures « Pavements de la Collégiale Sainte Waudru » de Mons nous conduisait sur les chemins, pour parler comme G. Bachelard, d’une rêverie de nature minérale, tellurique, la série « TRAFICS » nous emmène dans une rêverie que le philosophe aurait pu qualifier à plus d’un titre de « Textile ».

Il faut s’arrêter sur le support choisi : non pas le papier du graveur mais de la matière textile, de la toile de coton, qui vient introduire une sorte de brouillage. C’est, d’habitude, le support du peintre…

Les mediums ensuite : l’encre noire du graveur, principalement, et quelques signes de couleur rouge parfois, ocre ou blanche mais surtout le fil. Certaines lignes ont été dessinées à l’aide d’une machine à coudre, au point droit ou de zig-zag, d’autres ont été brodées sur quelques centimètres. Des pièces ont été ajoutées par couture sur le support textile. Apparaissent des points, ajoutés par couture eux aussi, d’où s’échappent des fils qui pendent, rampent, de temps en temps entremêlés. Des béances aussi.Vient alors à l’esprit l’idée que ces ouvrages de couturier ont quelque chose à voir avec la textualité et, au-delà, l’exercice de la parole. Il semble au fond qu’il ne s’agit pas ici de circulation automobile mais de circulation de signes et que les échangeurs autoroutiers sont des échos de nos difficiles échanges par la parole.VOIES/VOIX SANS ISSUES ?Les voies suggérées fonctionnent mal : les fils de la communication s’entremêlent confusément et s’interrompent brusquement sur le blanc du silence, les giratoires superposés sont des cercles autistes fermés, les flèches, énigmatiques, orientent vers le vide, les points sont de suspension et, tout autour de ces motifs, l’artiste a laissé en réserve d’immense marges…

Quelque chose est pourri aux royaume de nos mots...
Ce qui fait la force de cet ensemble, c'est la mise en œuvre d'un dispositif original qui, par glissement, nous renvoie à la question toujours répétée de la possibilité de partage du sens à travers son véhicule, la parole.
Denis Prévot /2016
 
Vernissage le 31.3.2017 à 17h (présence de Léonor COMIN)
exposition du 31.03 au 15.04 2017Galerie 36
36 Andriïvskiy Uzviz
Kiev, Ukraine

Ouvert du mardi au samedi -11:30 à 18h
Et en octobre retrouvez l’exposition TRANSIT avec les œuvres de
 Igor Prokofiyev, 
Marina Shkarupa, 
Svetlana Chornoborodov ,
Oleksandr Milovzorov,
artistes de Kiev qui exposeront au LEE dans le cadre du projet BORROW MY STUDIO.

La fête de l’estampe 2016au LEE /Claude Mallmann / Verdoliva & Lippolis

Pour cette édition 2016, Le LEE vous propose de découvrir Claude MALLMANN ainsi que les dernières expériences des artistes résidents permanents Roxane LIPPOLIS & Baptiste VERDOLIVA.

Claude MALLMANN Graveur Lorrain. ( 1915-1981 )
 » Parce que la beauté était en lui et qu’il savait la répandre avec naturel et générosité,Claude Mallmann eut, malgré les traverses et les soucis, une belle vie. En contemplant son œuvre, il me semble qu’au-delà des formes suggérées ou soulignées et des passages ombreux, on sent comme une présence spirituelle, informelle, partout répandue, encore susceptible de s’incarner et de se personnaliser indéfiniment – le contraire d’une théologie dogmatique ou scolastique-.
Voyez ce qu’il appelait en souriant, sa  » Tour de Babel « ; elle représente les efforts multiples, désordonnés et accumulés des hommes,dérisoires par leur accumulation, que contemplent des yeux dans la nuit trouée d’une structure lumineuse. Ce n’est pas un concept philosophique, mais la suggestion plastique d’une vue du monde- Weltanschauung – dont Claude MALLMANN ressentait fortement l’évidence. « 

Albert EISELE, ami de l’artiste.

Pour l’occasion nous proposons un vernissage le samedi 28 mai à 18h30, comme à l’accoutumée une participation culinaire est la bienvenue (auberge espagnole) !

 

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Siestes Sonores le 04 et 19 juillet 2015 Porte des Allemands

Le 04 et le 19 juillet, le LEÉ vous donne rendez-vous à la porte des allemands pour deux après-midis de Siestes sonores de 14h à 20h.

siestes sonores

Au départ, il y a une envie : celle de jouer ensemble, d’expérimenter la matière sonore, de la partager avec un public dans un lieu magnifique et propice à l’évasion, à la contemplation, et cela par un principe original : la sieste sonore. Pour vous, pour nous, pour le lieu, nous vous invitons — ces deux après-midis du samedi 4 et du dimanche 19 Juillet — à venir vous assoupir le temps d’une ou de plusieurs siestes sonores à la Porte des Allemands, accompagnés (ou pas) d’un transat, d’une natte, de votre famille et (ou) de vos amis.

Programme
Ces deux après-midis seront rythmés par des sessions musicales (deux à trois musiciens) d’une durée chacune de 20 à 40 mn. Vous pourrez entendre et voir des sessions acoustiques, électriques, électroniques ; toutes dans des registres différents, mais avec le même sens commun : celui de laisser la part belle à l’aléa et à l’improvisation. Des rafraîchissements et de la nourriture seront disponibles à la vente. L’entrée est GRATUITE.

Programme du 04 juillet 2015
14h00 : Ouverture des Siestes Sonores au public
14h10 : Floating Arms
14h50 : Intermede
15h00 : Christophe Sorro + Zero Degré + Lela Frite Kali
15h40 : Jan Morgensön + Snoeg
16h20 : Intermede
16h30 : Hanging Gardens
17h00 : Johann Perrin + Hugo Roussel
17h30 : Intermede
17h40 : Doc Geo + Grand Fred
18h10 : Collectif Chair
18h50 : Intermede
19h00 : Thierry Dellès + Michel Henritzi + Julien Louvet
20h00 : Fin de la journée

Mais encore ?
Pendant les intermèdes (10 mn), vous pourrez assister à des improvisations de danse, des conteurs anonymes, et des projections vidéos. Si cela ne suffit toujours pas, nous proposons un stand de lecture et des goodies pour dépenser votre argent. Et s’il reste encore des circonspects à ce type d’évènement, un concert de clôture — celui de Raphaël Verdoliva avec son projet The Last Port — terminera l’après-midi du 19 juilllet à la Porte des Allemands.
Nous vous attendons nombreux et nombreuses, nomades ou sédentaires !

Remerciements
Les organisateurs Romain Laurent et Hervé Scialdo, ainsi que les chercheurs du LEÉ, remercient la ville de Metz et notamment le service Patrimoine Culturel ainsi que le service Action Culturelle pour rendre cet évènement possible. Par ailleurs, pour le conduire à bien nous recherchons activement des bénévoles. Si vous êtes intéressés, merci de contacter par mail le LEÉ à : contact@le-lee.com.
A tous et toutes, merci !

Programme du 19 juillet 2015

14h00 : Ensemble Micro-Sillon + arbre moduleur
14h40 : Sebastien Joly + Julien Louvet + Jan Mörgenson
15h30 : Zero Degré + Marc Di Clemente
16h10 : Shake The Disease + David Rouby
16h50 : Aude Romary + Hugo Roussel
17h20 : Lela Frite + Louis Michel Marion + Gilles Sornette
18h00 : Johann Perrin + Oscil
18h30 : Seabuckthorn
19h20 : The Last Port
20h00 : Fin de la journée