CATALOGUE I / Exposition Baptiste Verdoliva ……… vernissage mercredi 16 mai à 19h

**********Performance au vernissage de Baptiste Verdoliva & Mireil Alonzi*****

Le 16 mai au LEE  à 19h performance de B.Verdoliva et M.alonzi
MERCI DE RÉSERVER PLACES LIMITÉES réservation à: bverdoliva@gmail.com
Comme de coutume une participation culinaire est la bienvenue !

« Un catalogue, un inventaire, une collection ?

Pour qui ?

Pour quoi ?

Ils sont là sous nos yeux qui attendent dans leur plus simple appareil, de face, de profil ou de trois quart dans un espace déserté.

Étranges présences, inquiétantes, troublantes qui disent un autre règne possible… »

Marie-Pierre Gantzer – mars 2012

Extrait «  à propos de Catalogue 1 »

27, 28 et 29 avril exposition A l’Encre des Kanô et leécture le 29 avril.

Dans le cadre de l’Été du livre et des Parcours d’Artistes, le LEE ouvre ses portes le 27,28 et 29 avril 2012.

Le LEE vous propose une exposition de peintures anciennes asiatiques et quelques travaux des chercheurs du LEE Vernissage le 27 avril à 19h.

Une participation culinaire est , comme toujours, la bienvenue!

Vernissage À L’ENCRE DES KANŌ, le 27 avril à 19h
Exposition 27, 28 et 29 avril
Lecture de Olivier Dautrey – dimanche 29 avril 17h30

Le Leé propose, les 27, 28 et 29 avril une exposition dédiée à la peinture japonaise issues de la collection de Maxence Kozak directeur de la Galerie Sui.
L’école Kanô fut créée par Kanō Masanobu vers le milieu du xve siècle.
Les artistes de l’école Kanō, constitués en ateliers familiaux, perpétuèrent leur tradition jusqu’à l’ère Meiji (1868-1912). Les peintres Kanō travaillaient souvent sur de grandes surfaces, pour peindre des scènes de nature représentant des oiseaux, des plantes, de l’eau, ou d’autres animaux, sur des portes coulissantes ou des paravents, couvrant l’arrière plan de feuille d’or, l’école était également connue pour leur grande maîtrise de la peinture sur soie à l’encre de Chine.

Dimanche 29 avril 17h30, en partenariat avec l’Été du livre et la Pensée sauvage lecture de « Pierre Soulages, 3 lumières » (éditions Verdier) de Jacques Laurans par Olivier Dautrey.
Critique et auteur de récits, Jacques Laurans publie, depuis 1984, des récits autobiographiques et des « essais personnels ». « Pierre Soulages, 3 lumières » représente ces deux facettes.
Ancien pensionnaire de la Comédie française, Olivier Dautrey a créé en Lorraine la Pensée sauvage, résidence d’écrivains, pour encourager l’écriture contemporaine. La Pensée sauvage accueille en ce moment Jacques Laurans.

Partenaires :

Galerie Sui –
1, rue des Allemands –
 57000 Metz
T : +33 (0)3 54 62 58 45 –
www.galerie-sui.com

La pensée sauvage
20, rue des Charmes –
88130 Bouxurulles
olivierdautrey@yahoo.fr
www.m-e-l.fr/fiche-residence.php?id=43#info

30 mars 2012 à 18h30 vernissage de Philippe Garenc TOPOI

LES TOPIQUES GARENCIENNES, TRISTES TOPIQUES ?

PAR HERBERT STENCIL,New-York, FEVRIER 2012

L’exposition des recherches de Philippe GARENC au Leé est l’occasion de présenter quelques enjeux d’un travail de recherche plastique, à la fois anthropique, multipolaire et élastique. Philippe GARENC est un boiteux qui éprouve le monde … Freud termine ainsi « Au delà du principe de plaisir », par ces vers du poète Ruckert : Was man nicht erfliegen kann, muss man erhinken.Die Schrift sagt : Es ist keine Siinde zu hinken.« Boiter n’est pas pêcher… »

Le titre de l’exposition, Topoï souligne un pluriel U-topique : Topoï invoque les lieux d’où je parle. Philippe Garenc se coltine aux riens pour en faire quelque chose et ses travaux ne recherchent pas l’approbation. Ils prennent à témoin et engagent une réalité virtuelle dans la réalisation de lieux communs.

Il appréhende sans emphase, avec l’habileté de l’artisan : matière organique, matière virtuelle, l’une alimentant l’autre, articulent des îlots imaginaires. Conscientisés par le biais de questionnements, les Topoïs de Philippe Garenc permettent des articulations imaginées, tangibles, potentiellement palpables puisqu’elles existent en puissance; comme la possibilité que nous avons de fragmenter notre esprit.

Outils, processus de construction, installations, images perceptives et prospectives, organisent un espace mental. La figure humaine est absente de la représentation, ce qui ménage explicitement la place du vide, du rien et ce qui rend aussi possible de rencontrer l’autre. Esthétique du lien à l’autre, dans l’étroite cohabitation avec le vide qui nous est commun à tous. Les titres de ses pièces sont simples et évocateurs.

Invitation à la visite de soi, invitation à visiter l’Autre, les architectures de PG font écrans sensibles à la lumière que nous y projetons

Bricoler quelque chose à partir de ce rien est l’affaire de tous, sans exception. Ces travaux nous invitent à nous confronter à notre condition de d’être, à conscientiser et accepter ce vide au moment où il est vital d’engager d’autres rapports au monde… SOUL BUSH, Perdre son âme ? Souvenons-nous que la Conscience est une acquisition récente, expérimentale et toujours précaire, elle s’établit graduellement et laborieusement au cours d’un processus qui se prolonge encore, loin d’être achevé dans la civilisation…

Herbert Stencil

V.ide few notes by Herbert Stencil about Philippe Garenc artworks

LES TOPIQUES GARENCIENNES, TRISTES TOPIQUES ?

par Herbert Stencil, chercheur au Leé.

COSA MENTALE : Philippe Garenc est un boiteux qui éprouve le monde. Ses travaux de recherche cohabitent étroitement avec le V.ide sur lequel j’enquête. J’écris à distance.

L’exposition  des travaux de Philippe Garenc au Leé, intitulée TOPOI, est l’occasion de présenter les enjeux d’un travail anthropique, multipolaire et élastique. Topoï évoque  / invoque des lieux, peut être même des  endroits d’où JE parle.  Les travaux de recherche de Philippe Garenc  me disent   » Regardez moi comme JE me regarde  » TopologieTOPOI souligne un  pluriel U – Topique.

Lieux communs.

SOUL BUSH,, Perdre son âme ? La Conscience est une acquisition récente et expérimentale, elle s’établie graduellement et laborieusement au cours d’un processus qui se prolonge,  loin d’être achevé dans la civillisation…

matière – forme – symbole – corps — spectateur

 » Boiter n’est pas pecher  » … Freud  termine ainsi  » Au dela du principe de plaisir «  par ces vers du poète Rükert :

Was man nicht erfliegen kann, muss man erhinken.

Die Schrift sagt : Es ist keine Siinde zu hinken.

 

http://www.garenc.com/wordpress/

A « W » SOUL;

(A write slam out of universitary law).

A propos du travail de Philippe Garenc ;

un boiteux qui éprouve le monde.

Manuel Fadat – Novembre 2008.

« Analyse et représentation des topoï : le topos du poète méprisé », Louis Hébert / Tangence, n° 64, 2000, p. 25-48 : http://id.erudit.org/iderudit/008189ar

 

 – La psychanalyse l’air de rien, Jacqueline Légaut

– Boiter n’est pas pêcher, Lucien Israël / Editeur : Erès, Toulouse, France