Nuits Blanches 6/samedi 5 et dimanche 6 octobre à Blida (ancien dépôt des TCRM)/ 3 avenue de Blida (Metz 57)

Dans le cadre des Nuits Blanches 6 à Metz Le Leé présente :

Baptiste Verdoliva/180 secondes

180 secondes de condensé sonore. Ce qui emplit notre monde au quotidien, les sons comme les événements s’entremêlent, s’entrechoquent, se croisent pour créer cet environnement sonore qui participe en partie, sans même nous en rendre compte, à une certaine perception de notre bref passage terrestre.

Claire Losson & Maud Lucien/Somehow/Sans-pourquoi-ni-comment

Somehow est une réalisation in situ conçue à l’occasion de Nuit Blanche et construite sur un temps de résidence dans l’ancien dépôt des tamm. La collaboration engagée en mars 2013 entre les deux artistes Cour du Languedoc à Metz- Borny au sein du projet Ensemble porté par l’association bao, leur suggère un travail de déplacements, d’étirement et de rencontre de leurs territoires de recherches plastiques qui s’exprime à travers l’appropriation d’un espace public par le biais de la photographie et du dessin.

Joachim Biehler/Art Glasses/Like ORLAN

Comme souvent dans son travail, Joachim Biehler s’empare d’une référence, d’un héritage, d’une oeuvre. Il s’inscrit véritablement dans une histoire de l’art contemporain et revendique ses citations et ses affiliations. Pour la 6e édition de Nuit Blanche, il s’empare du personnage ORLAN, figure emblématique et tutélaire de la scène contemporaine internationale qui a fait de son corps « un lieu public de débat ».


Toute la programmation Nuits Blanches et le plan sur http://www.nuitblanchemetz.com/events

ÉPUISER L’ALBUM/Sarah MONNIER et de Anthony MARQUELET/ vernissage au LEE le 06 sept à 18h30.

Depuis 3 ans LE LEE s’efforce d’être un catalyseur et un pont entre différentes pratiques et expérimentations artistiques.

D’un point de vue formel le travail de Sarah MONNIER et de Anthony MARQUELET sont très proches, formellement uniquement !

LE LEE les a fait se rencontrer…

vernissage
le 6 septembre 18h30
exposition
visible jusqu’au 8 septembre
13h00 – 18h30

visuel Sarah et anthony 6 sept 20131 copieSarah et anthony 6 sept 2013

ÉPUISER L’ALBUM

Prélèvements et expérimentations gravés

En puisant dans nos albums de famille, nous prend l’envie de manipuler ces images du passé, avec la volonté commune de faire passer la photographie d’un état à un autre. Nous transformons ces portraits, les modifions, jusqu’à les libérer de leur représentation affective pour certains, les amplifier pour d’autres.

Vider l’image de ses symboles sensibles, c’est y retrouver des formes, un langage graphique qui tend vers du commun, du « qui que ce soit ».

« Prélever/ rassembler/ transformer/ éroder/ restituer.

Je transfère des images liées à l’intime vers une proposition graphique plus universelle. A travers des techniques d’impression variées, j’expérimente les images comme une matière à métamorphose, qui parle de l’Humain, de sa substance, et interroge l’idée d’une trace visuelle commune. »

Sarah Monnier

Sarah Monnier née en 1986, vit et travaille dans le grand est.

monniersarah@gmail.com

monniersarah.wordpress.com

collectifcentcibles.overblog.com

Amplifier l’image, c’est la « mettre en gras », lui donner du sens et donc lui redonner vie.

« Tel un chirurgien de l’image, dans une démarche résolument naturaliste, je prélève des fragments de photographies anciennes et les dissocie de leur biotope.

Je les classe et les ordonne, comme pour les tirer de l’oubli : je les remet en vie.

Je mets en surbrillance ces inconnus qui forment ma famille.

Je les réhabilite. »

Anthony MARQUELET

Anthony MARQUELET né en 1987, vit et travaille à Nancy (54).

http://anthonymarquelet.wix.com/huellas-y-memorias

anthony.marquelet@hotmail.fr

IDENTITÉ ÉQUIVOQUE Mona Aghababaie/vernissage vendredi 2 août 18h30 exposition visible jusqu’au 4 août de 13h00 à 18h30

Dans le cadre de ces résidences d’été Le LEE vous invite à découvrir le travail de Mona Aghababaie fruit de la production du mois de juillet. Comme à l’accoutumée, une participation culinaire est la bienvenue. au plaisir de vous voir vendredi. LE LEE

IDENTITÉ ÉQUIVOQUE Mona Aghababaie vernissage vendredi 2 août 18h30 exposition visible jusqu’au 4 août de 13h00 à 18h30

Vous êtes-vous déjà posé cette question : « comment vais-je m’habiller demain ? » Pour ma réunion, pour mon entretien, pour me promener, pour mon mariage, pour mon anniversaire, etc...
En m’habillant, j’habille aussi mon identité. Les vêtements peuvent représenter mon genre, ma profession, ma génération etc. Il nous arrive d’essayer de deviner la personnalité d’une personne quand on la voit pour la première fois au travers de ses vêtements. Il s’agit d’une coordination des sentiments et des sensations pour identifier la personnalité de la personne.
Ainsi, les vêtements ont le pouvoir de dissimuler ou de révéler des niveaux de réalité. Dans ce sens, les vêtements construisent notre identité en déconstruisant notre réalité.
Pour ce travail, j’utilise les habits et les tissus coupés et déchirés en petit morceaux. Ils sont assemblés en une sorte de corde qui représente notre existence, mais aussi nos différences.
Web : http://monaaghababaie.blogspot.fr/

 

fessebookidentité-équivoque-2-aout-2013

Fête de l’estampe/dimanche 26 mai 2013 de 10 à 18h

 

logo

A l’occasion de la fête de l’estampe deux ateliers ouvrent leurs portes en Moselle : Le Leé et la Bottega (de 14-19h)

Au Leé venez découvrir les travaux des membres de l’atelier et la pratique de la gravure… plus d’info sur http://fetedelestampe.fr/lorraine

 

 

labo

 

 

 

L’art de l’estampe, en Occident, est relativement récent, puisqu’on n’a commencé à l’y pratiquer qu’à la fin du XIVe siècle. Il a par conséquent échappé au carcan des communautés de métiers, qui impliquaient numerus clausus, compagnonnage et maîtrise.

L’essor de la gravure en taille douce dans la France de Louis XIII et de Louis XIV a donné à plusieurs,

l’envie d’en tirer bénéfice en créant une communauté des graveurs et marchands de taille douce qu’ils

pourraient taxer. Ils se heurtèrent à chaque fois à la vive réaction de ceux qu’ils entendaient «maîtriser», avec à leur tête d’abord Abraham Bosse puis Robert Nanteuil. Ce dernier était fort bien en

cour, notamment après avoir fait le portrait du jeune Louis XIV, lequel sut entendre les raisons expo-

sées par l’artiste dont certains éléments sont repris textuellement dans

l’arrêt de Saint Jean de Luz du 26 mai 1660, qui annule un arrêt pris dans le sens contraire peu de temps auparavant.

 rue Taison 3  2007 001